2004-2005
série de 28 photographies30 x 40 cm en digigraphie et sur bâches 100×150 cm
À cause de sa modernité fulgurante, on dit de Casablanca qu’elle est « une ville sans passé. » Anne-Laure Boyer a passé beaucoup de temps à explorer les zones d’ombre de cette métropole, pour s’initier au passé volatil d’une ville où elle était arrivée par hasard. Un cheminement entre les restes de ce qui disparaît.